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Au terme d'un exploit rendu possible par l'évolution des réseaux, de l'ingénierie robotique et de la médecine, un chirurgien a effectué une intervention cardiaque alors qu'il se tenait à 20 miles de son patient.
APF France handicap fait l'acquisition de la start-up Leka ! Elle s'engage à développer le robot éponyme, qui facilite les interactions des enfants présentant des troubles du développement. L'association mise ainsi sur l'e-santé !
Moins de douleur pour les patients, plus de confort pour les médecins : les robots chirurgiens arrivent à Paris
Depuis plusieurs semaines, les hôpitaux de Paris installent des robots dernier cri pour opérer les malades. Les interventions seraient plus confortables pour les médecins et moins douloureuses pour les patients.
A l’heure où le vieillissement de la population française tend à s’accélérer, la Mutualité Française Loire - Haute-Loire Ssam a lancé une triple étude inédite – dont le rapport est remis ce jour – sur l’utilisation dans les Ehpad de Paro, un robot émotionnel ayant l’apparence d’un phoque en peluche, auprès des résidents atteints de troubles cognitifs. Ces trois études inédites ont été réalisées avec le soutien de la Fédération nationale de la Mutualité Française et de la Fondation Paul Bennetot (groupe Matmut).
Le Comité consultatif national d’éthique (CCNE) a rendu public son rapport des États généraux de la bioéthique 2018. La robotisation, l'intelligence artificielle et les données de santé font partie des problématiques identifiées par l'autorité. En voici les points à retenir.
Selon les médecins, trois quarts des hospitalisations d'enfants asthmatiques - ils sont 700.000 en France - pourraient être évitées s
La start-up SPIN'R commercialise Medi'Pep : le premier robot prêt à l'emploi, capable d'effectuer des consultations santé en appui des équipes médicales.
Des scientifiques de l’Université de Harvard ont élaboré une peau artificielle qui est composée d’écailles. Grâce à cela, ils ont pu créer un robot capable de se déplacer de la même manière qu’un serpent.
Et si la robotique et le machine learning vous aidaient à soigner vos douleurs lombaires ? Le projet KERAAL, porté par IMT Atlantique, travaille à la conception d’un robot humanoïde capable d’accompagner les patients atteints de lombalgie lors des exercices de rééducation à domicile. Grâce à des algorithmes d’apprentissage supervisé, le robot peut montrer au patient le bon mouvement à effectuer et corriger ses erreurs en temps réel.
Le secteur de la santé est un des plus concernés par la robotisation. Moins pénibles mais plus denses, les métiers vont changer.
Via Anne-Sophie Hardel
Première européenne : deux patients dont le surpoids important contre-indiquait la transplantation rénale classique, ont été opérés avec succès à Toulouse grâce à un robot.
Le CHU de Toulouse a réalisé deux greffes rénales assistées par un robot chez des patients obèses, normalement non éligibles à la transplantation du fait de leur surpoids.
L'opération, qui n'avait jusqu'alors été réalisée qu'à Chicago, aux Etats-Unis, a été effectuée en mai et juin derniers sur deux patients souffrant d'une obésité particulièrement importante et qui "vont très bien", selon le CHU.
Le premier pesait 105 kg pour 1,63 m, soit un Indice de masse corporelle (IMC) de 37, et le second 130 kg pour 1,80 m, soit un IMC à 40. Les patients dont l'IMC est supérieur à 35 ne sont pas éligibles à une greffe rénale classique, en raison des risques chirurgicaux encourus, jugés trop élevés.
Chez un obèse important, l'épaisseur de la paroi abdominale accroît grandement le risque d'infections post-opératoires et d'éventration. L'utilisation d'un robot, qui passe à travers la paroi, évite d'ouvrir le ventre et ne nécessite qu'une petite incision de 4 cm, explique le médecin, expert en chirurgie robotique dans le département d'urologie-andrologie et transplantation rénale de l'hôpital Rangueil, à Toulouse.
Cette "prouesse technique" donne "espoir à des patients obèses qui n'arrivent pas à maigrir et qui, jusqu'à présent, étaient exclus de la transplantation rénale", dit M. Doumerc. "L'espérance de vie est plus grande quand on est greffé qu'en dialyse", seule solution qui se présentait jusqu'à présent pour ces patients, rappelle le médecin.
Une vingtaine d'obèses malades pour qui la transplantation rénale classique est contre-indiquée "pourrait avoir accès" à l'opération assistée par un robot à Toulouse, précise-t-il.
Lors d’expériences impliquant une simulation de l’œsophage humain et de l’estomac, des chercheurs du MIT, de l’Université de Sheffield, et de l’Institut de Technologie de Tokyo ont montré qu’un minuscule robot en origami peut se dérouler à partir d’une capsule ingérée et, dirigé par des champs magnétiques externes, nager à travers la paroi de l’estomac pour enlever une pile bouton ingérée ou colmater une plaie.
Via Philippe Marchal
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En France, plus de 4 millions de personnes sont touchées par l’asthme, une maladie qui survient généralement dès l’enfance. Il est essentiel de bien contrôler la maladie grâce aux traitements adaptés, pour éviter qu’elle ne s’aggrave et n’évolue vers un asthme sévère. Pour aider les enfants asthmatiques à mieux appréhender leur prise en charge, une société française a développé un robot dédié, baptisé Joe.
Depuis un peu plus d’un an, le centre Oscar Lambret à Lille bénéficie de 2 machines Cyber Knife. Ces robots permettent d’user de techniques très complexe d’irradiation (appelées stéréotaxique) pour lutter contre les métastases.
Ces doses de rayons sont plus importantes que les soins plus répandus, et ces rayons sont surtout beaucoup plus précis. Ils permettent d’éviter de toucher les organes proches des tumeurs soignées.
Via ACCURAY FRANCE
Le premier robot médecin est doté d’une intelligence artificielle. Il fait gagner un temps précieux aux praticiens dans les centres de soins de Chine.
Nanomédecine: un robot mille-pattes pour transporter des médicaments dans le corps. VIDEO
Des roboticiens de l'Université municipale de Hong Kong ont mis au point un mille-pattes mécanique capable de délivrer un médicament à un endroit précis du corps sans abîmer au passage les tissus environnants.
Selon certains scientifiques américains, des robots microscopiques ou nano-robots pourraient circuler dans les artères pour lutter contre les maladies et les cellules cancéreuses d’ici 2030. Aujourd’hui, les robots intègrent déjà le domaine de la santé avec des compagnons domestiques et des automates piluliers.
Solution miracle face au vieillissement de nos sociétés ou vecteur de déshumanisation dans une société de plus en plus individualiste ? Quelle que soit la teneur du débat éthique, l’arrivée de la robotique dans l’accompagnement des personnes âgées est un champ d’application investi par plusieurs sociétés de robotique.
SoftBank Robotics (ex-Aldebaran) a piloté le projet Romeo pour tester son robot Pepper aux côtés de personnes âgées hébergées en centre de rééducation. Au total, vingt-quatre résidents ont chacun vécu 24 heures sur 24 pendant une semaine avec un robot. De son côté, la société Kompaï Robotics a expérimenté son robot d’aide à la mobilité au sein de l’Ehpad (Etablissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes) Korian Croix Périgourd, à Saint-Cyr-sur-Loire (Indre-et-Loire).
Le Syndicat National de l’Industrie des Technologies Médicales (Snitem) vient d’annoncer la parution d’un livret de la collection « Les innovations technologiques médicales » dédié à la robotique.
La start-up Leka a décidé de mettre en place un petit robot du même nom. Interactif et éducatif, il permet notamment de faciliter la communication pour les enfants atteints de troubles intellectuels ou de motricité
Publié dans la prestigieuse revue Jama (Journal of the American Medical Association), l'éditorial du Pr Jason D. Wright surprend : l'emballement autour de la pratique de la chirurgie assistée par des robots serait essentiellement une affaire de publicité. Le Jama, avec deux études, montre en effet que la preuve de l'efficacité de cette technique reste à faire. Sa mise en place a été décidée "malgré le manque de données montrant l’efficacité de cette procédure", écrit le Pr Jason D. Wright.
Même si elles ont leurs limites, par leur petit panel de patients ou par leur méthode, les deux études publiées mercredi 25 octobre n'ont pas pu identifier clairement les bénéfices des opérations robots-assistées pour les patients. La supériorité sur une "classique" coelioscopie, appelée aussi chirurgie laparoscopique n’apparaît ni dans l'étude réalisée sur la chirurgie digestive ni dans celle portant sur la néphrectomie publiées dans le Jama.
Patients who have been diagnosed paraplegic could show long-term positive results in mobility thanks to interesting therapy partners: robots and brain machine interfaces.
Research published by Nature has shown that long-term training with brain machine interfaces on patients who have suffered a spinal cord injury could result in positive effects. The research was conducted by an international group of scientists, led by Miguel Nicolelis of Duke University.
The program--dubbed the Walk Again Neurorehabilitation (WA-NR) protocol--had participants start small and work their way up. The 8 patients ranged in their condition from having been paralyzed for three years to 13 years. The first step of the WA-NR protocol was to control a 3-D avatar on a screen using their imagination. Patients would move the avatar by imagining their arms or legs moving.
Later in the program they would use a robotic gait trainer in a similar fashion. Participants would be hooked up to the trainer and would imagine taking steps. The brain-controlled robotic exoskeleton would respond to those thoughts. Participants also used a traditional robotic gait trainer throughout the program duration.
By the end of the study, researchers found that a mixture of robotic and traditional movement therapy could significantly improve patients’ recovery.
Within five years, one in three U.S. surgeries – more than double current levels – is expected to be performed with robotic systems, with surgeons sitting at computer consoles guiding mechanical arms. Companies developing new robots also plan to expand their use in India, China and other emerging markets.
Robotic surgery has been long dominated by pioneer Intuitive Surgical , which has more than 3,600 of its da Vinci machines in hospitals worldwide and said last week the number of procedures that used them jumped by 16% in the second quarter compared to a year earlier.
The anticipated future growth – and perceived weaknesses of the current generation of robots – is attracting deep-pocketed rivals, including Medtronic and a startup backed by Johnson & Johnson and Google .
Developers of the next wave aim to make the robots less expensive, more nimble and capable of performing more types of procedures, company executives and surgeons told Reuters.
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